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KBES est une société de production, commercialisation, et distribution des
produits agricoles , fruit de plusieurs années de recherche et d’invention. Issue d’une recherche révolutionnaire dans le milieu agricole, KBES a conçu une large gamme de produits innovants avec des effets puissants, qui boosteront votre production, répondant ainsi aux besoins des agriculteurs.
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PROBLÈMES AGRICOLES

LES CARENCES NUTRITIONNELLES ET LES CARENCES DU SOL

Nous pouvons trouver dans le sol et dans la plante des carences en éléments et en micro et macronutriments.

LES CARENCES NUTRITIONNELLES ET LES CARENCES DU SOL

Nous pouvons trouver dans le sol et dans la plante des carences en éléments et en micro et macronutriments.

LES CARENCES NUTRITIONNELLES ET LES CARENCES DU SOL

Nous pouvons trouver dans le sol et dans la plante des carences en éléments et en micro et macronutriments.

L'actualités agricole

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La rareté des pluies inquiète les céréaliculteurs.

Dans son édition numérique 31 janvier 2022, LeMatin a dressé un état des lieux de la céréaliculture marocaine à travers l’angle pluviométrique…

Urgent : Un programme spécial pour soutenir les apiculteurs

Un programme spécial a été élaboré en vue de soutenir les apiculteurs touchés par le phénomène de disparition des colonies d’abeilles…

Les fruits et légumes du Maroc cartonnent en Europe de l’Est

En cette période hivernale du début de l’année, de la Russie à la République Tchèque, en passant par l’Ukraine, la Biélorussie, la Pologne et la Slovaquie…

La rareté des pluies inquiète les céréaliculteurs.

Dans son édition numérique 31 janvier 2022, LeMatin a dressé un état des lieux de la céréaliculture marocaine à travers l’angle pluviométrique. Interrogé par nos confrères, l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni a fait part de ses inquiétudes.

Depuis plusieurs semaines les agriculteurs marocains attendent des pluies qui ne viennent pas, ou trop peu. L’emblavement des terres ayant déjà accusé beaucoup de retard étant donné la faible pluviométrie, une lueur d’espoir avait été perçue lors de décembre alors que des précipitations avaient été enregistrées, mais cette lueur s’est rapidement dissipée à cause de la sécheresse de janvier.

Pour Abdelmoumen Guennouni, ingénieur agronome la saison semble déjà compromise même avec l’arrivée des pluies. « La situation est compliquée, voire catastrophique. On est en train de vivre un scénario similaire à celui des années 1980. Les céréaliculteurs du Maroc se préparent encore à une mauvaise récolte, tout comme l’avant dernière saison agricole (2019). Si on met à part la campagne agricole très moyenne enregistrée l’année dernière, nous pouvons dire que le Maroc revit les scénario de sécheresse de ces dernières décennies » affirme t’il à nos confrères.

Pour Guennouni la production céréalière sera impactée et enregistrera une baisse importante quand bien même les pluies venaient à se manifester. Il poursuit en affirmant toujours à la même source : « On espérait que le nord du pays serait plus épargné, vu que cette région connaît la plus forte concentration des précipitations, mais ce n’est pas le cas cette année. »

Disparition des colonies d’abeilles: un programme spécial pour soutenir les apiculteurs touchés.

Un programme spécial a été élaboré en vue de soutenir les apiculteurs touchés par le phénomène de disparition des colonies d’abeilles, constaté récemment dans certaines régions, a annoncé dimanche le ministère de l’Agriculture, de la pêche, du développement rural et des eaux et forêts.

Ainsi, le gouvernement alloue un montant de 130 millions de dirhams (MDH) pour prendre des mesures immédiates à travers notamment l’accompagnement des apiculteurs pour la reconstruction des ruches infectées par la distribution de nouvelles colonies d’abeilles et la mise en place d’une campagne nationale de traitement des ruches contre la maladie de varroase ainsi que des campagnes de sensibilisation au profit des apiculteurs, notamment en ce qui concerne les bonnes pratiques en matière d’apiculture, indique le ministère dans un communiqué.

En effet, une séance de travail a été tenue, samedi en mode visioconférence, par le chef du gouvernement et le ministre de l’Agriculture, de la Pêche, du Développement Rural et des eaux et forêts, accompagné du directeur général de l’Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA) et du directeur central des filières de production en vue d’examiner les causes de ce phénomène et les moyens à même d’atténuer ses effets sur le secteur apicole.

Au cours de cette réunion, le directeur général de l’ONSSA a fait un exposé sur les mesures urgentes prises ainsi que les résultats préliminaires des recherches et analyses effectuées par ses services vétérinaires régionaux, en collaboration avec les représentants de la Fédération Interprofessionnelle Marocaine de l’Apiculture, et qui ont démontré que ce phénomène est nouveau et concerne certains apiculteurs à des degrés divers dans certaines régions du Maroc.

Aussi, les investigations de laboratoires excluent l’hypothèse qu’une maladie des abeilles soit à l’origine de ce phénomène, relève le communiqué.

L’ONSSA a constitué un comité d’experts multidisciplinaire pour poursuivre les recherches et les études sur ce phénomène, fait savoir le communiqué, notant que l’Office approfondit également les enquêtes de terrain en collaboration avec les professionnels du secteur afin d’identifier les facteurs contribuant au développement de ce phénomène.

Le phénomène connu sous l’appellation “Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles” a été constaté également dans des pays en Europe, en Amérique et en Afrique.

Les recherches attribuent cela à plusieurs facteurs, entre autres, la faiblesse des précipitations, la diminution de la quantité et de la qualité de l’alimentation disponible pour les abeilles ou encore l’état de santé des ruchers et les méthodes de prévention suivies, conclut le communiqué.

Europe de l’Est : Les fruits et légumes marocains ornent la table du consommateur.

En cette période hivernale du début de l’année, de la Russie à la République Tchèque, en passant par l’Ukraine, la Biélorussie, la Pologne et la Slovaquie, les fruits et légumes marocains ornent la table du consommateur local.

Oranges et clémentines de Berkane et Souss-Massa, tomates, poivrons, citrons et courgettes du Sud du Maroc, les agrumes du Royaume ont le vent en poupe en Europe de l’Est, autant de produits qui se distinguent sur les étalages des grandes surfaces commerciales par l’affichage des couleurs nationales, la traçabilité étant l’une des exigences des consommateurs avertis.

La présence des agrumes marocains sur le marché européen est une vieille tradition qui s’est renforcée depuis l’installation de représentations de l’ex-OCE (office de commercialisation et d’exportation) au milieu des années 1960 avant sa dissolution pour le remplacer par un contrôle de la qualité permettant aux producteurs nationaux d’élargir et diversifier les exportations.

Le marché russe demeure le premier de la région qui absorbe plus de 50 pc des exportations d’agrumes marocains. Le Maroc a accéléré, au cours des dix mois de 2021, les exportations des clémentines vers la Russie après les avoir arrêté en 2020 pour cause du Covid19, indiquent les services de la douane russe.

Les premiers résultats de la saison des récoltes qui a démarré au Maroc montrent que durant la campagne en cours, le Royaume, malgré quelques coûts de transport et de logistique liés à la pandémie de coronavirus, peut exporter jusqu’à 650 mille tonnes d’agrumes, y compris vers la Russie, indique-t-on de mêmes sources.

Selon l’office des statistiques russes, au cours des neuf premiers mois de 2019, les exportations d’agrumes marocains vers la Fédération de Russie se sont élevées à 142 millions de dollars. Puis, en raison des conséquences et des restrictions causées par les pandémies, ce chiffre pour la même période de 2020 est tombé à 60,4 millions de dollars. Cependant, au cours des neuf premiers mois de 2021, les exportations d’agrumes se sont élevées à 61,6 millions de dollars. Ainsi, explique la même source, la dynamique négative a été interrompue et il est constaté à nouveau une croissance, qui augmentera avec le temps.

Les importations d’agrumes marocains augmentera en 2022 eu égard aux restrictions russes à l’importation d’oranges et de mandarines de Turquie et d’Égypte en relation avec les violations phytosanitaires identifiées. Les importateurs russes accordent plus d’attention aux produits en provenance du Maroc, estime-t-on de mêmes sources.

Le ministère russe du commerce signale que la Russie est un marché historique des agrumes pour le Maroc, ajoutant que traditionnellement sa part, avec l’Amérique du Nord et les pays du Golfe, représente plus de 50 pc des exportations marocaines annuelles.

La Pologne demeure l’un des plus gros consommateurs de fruits et légumes marocains

Cette tradition de marché historique remonte au début des années 1970 lorsque le Maroc se heurtant à la concurrence espagnole, parvenait à écouler les oranges et les clémentines dans l’ancien espace soviétique, un marché de 250 millions de consommateurs avec les anciens États satellites du bloc de l’Est. Aujourd’hui, ces États ayant mis fin à la dépendance soviétique au début des années 1990 consécutive à l’effondrement de l’Ex-URSS, continuent d’importer les agrumes marocains appréciant leur qualité et leur goût succulent. Cet engouement est étayé pour la forte présence des oranges, des clémentines et des tomates pour ne citer que ces produits, sur les marchés des pays de la région.

La Pologne demeure l’un des plus gros consommateurs de fruits et légumes marocains comme témoigne la présence de ces produits sur le marché polonais. Hormis la Russie, l’abondance des produits marocains se heurte à l’absence de statistiques officielles sur les importations d’agrumes marocains par les pays de l’Est européen, les importateurs de ces derniers préférant s’approvisionner sur le marché tiers notamment français ou au port de transit de Rotterdam aux Pays-Bas, devenu un Food Hub d’Europe, permettant aux importateurs européens de s’approvisionner en produis agricoles et de la pêche. C’est depuis ce grand port où les importateurs polonais et tchèques, entre autres, obtiennent les agrumes marocains au lieu d’acheminer directement les fruits et légumes marocains vers les pays de la région.

Selon des experts en agro-industrie de la FAO (l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture), cité par le journal des consommateurs polonais, il convient de mettre en place une plateforme agro-logistique établie en Pologne pour les produits marocains, en vue de garantir aux acheteurs polonais la livraison d’un produit de bonne qualité et dans les délais impartis.

Les exportateurs marocains et les importateurs polonais se doivent de mettre en place des plateformes pour faciliter l’accès des produits marocains au marché des pays de la région à des prix compétitifs et une meilleure qualité des fruits et légumes made in Maroc, estime-t-on.

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